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En 1949, Samson et Dalila (Cecil B. DeMille) ressuscite le péplum et, l’écran large aidant, le genre va connaître une seconde jeunesse dont Cléopâtre (Joseph L. Mankiewicz, 1963) et La Chute de l’Empire romain sont un peu le chant du cygne. Funèbre, le film d’Anthony Mann l’est assurément, lui qui accompagne les derniers jours de Marc-Aurèle et dépeint sa succession troublée. Pour autant, cette matrice du Gladiator de Ridley Scott, 1999, abonde en séquences spectaculaires, mais toujours colorées de tragédie, de ce sentiment de l’implosion inéluctable d’un Empire miné par les intrigues, la corruption et la démence.