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» King Vidor et David O. Selznick : deux hommes aux intérêts convergents, qui se croiseront tout d’abord à la MGM, et concrétiseront leur collaboration avec ce Duel au Soleil, western plus mélodramatique que véritablement guerrier, dans lequel les deux hommes n’auront de cesse de multiplier les affrontements, devant et derrière la caméra. Si John Ford signe cette même année 1946 La Poursuite Infernale et s’est déjà imposé comme un véritable spécialiste du western, le rapport de Vidor au genre n’est pas encore très marqué [il en signera un autre, très remarqué, en 1955 : L’Homme qui n’a pas d’étoile]. Et c’est donc avec l’appui d’un producteur très présent et d’un casting prestigieux que le cinéaste entreprend un tournage en tous points chaotique. » [Cinecri.com]