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Film hors normes, auquel Tati a consacré du temps, de l’énergie et beaucoup d’argent, Playtime n’a pas rencontré le succès escompté. Tati ne s’en remettra jamais tout à fait, bien que ses ultimes longs métrages (Trafic et Parade) ne soient pas à négliger. Dans le prolongement de Jour de fête et de Mon oncle, Playtime atteste de la mutation d’une France des villages à celle des (grandes) villes. Un film-monstre qui nous parle d’architecture et de la déshumanisation de notre société, laissant toutefois flotter dans l’air une ténue note d’espoir, comme si la poésie ne pouvait se résoudre à abdiquer face à la dissolution programmée de l’individu dans le quotidien post-moderne.