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1951. Mervyn LeRoy plante ses caméras le long de la voie Appienne. Après bien d’autres, il adapte à l’écran le roman du Polonais Henryk Sienkiewicz, Quo Vadis ? Dans ce roman-fleuve, paru en 1896, trois éléments émergent d’une intrigue touffue : l’incendie de Rome en 64 ; les premiers chrétiens ; l’empereur Néron. Un bourreau. Ses victimes. L’ouvrage eut un phénoménal succès. Il n’était pourtant que l’avatar d’une étonnante falsification historique. Car Néron, loin d’être le premier persécuteur des chrétiens, fut, en réalité, un empereur pacifique, ami des arts et, somme toute, aimé de son peuple. Le cinéma, dès 1896, prend naturellement le relais de la tradition chrétienne : Néron, à l’écran, restera un monstre. Tradition que LeRoy suivra, avec cependant des nuances : son Néron, admirablement joué par Peter Ustinov, s’il reste le symbole de toutes les oppressions, tire plus sur le grotesque que sur le tragique.